_Patriarche General Fictif CHARPENET _
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_Br Dordogne 24 CHARPENET _|
| (1560 - ....) |
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_Giron CHARPENET __|
| (1591 - 1691) |
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|--Elie CHARPENET
| (1750 - 1784)x1775
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_Guillaume CHARPENET __
| (1710 - ....)x1745
_Bernard CHARPENET ___|
| (1769 - 1850)x1797 |
| |_Jeanne ROUCHETTE _____
| (1720 - ....)x1745
_Jean CHARPENET ____|
| (1797 - 1873)x1801 |
| | _Jean BRIVAL __________
| | | (1760 - ....)x1779
| |_Marguerite BRIVAL ___|
| (1780 - 1873)x1797 |
| |_Antoinette CHANTELAT _
| (1760 - ....)x1779
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|--Etienne CHARPENET
| (1825 - ....)x1855
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| _Etienne MAUMON ______|
| | (1760 - ....)x1780 |
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|_Marguerite MAUMON _|
(1781 - 1873)x1801 |
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|_Marguerite COURNIOL _|
(1761 - ....)x1780 |
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_Giron CHARPENET __
| (1591 - 1691)
_Paul CHARPENET ___|
| (1670 - ....)x1694|
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_Jean CHARPENET _____________|
| (1695 - ....)x1709 |
| | _Bernard BOUQUIER _
| | | (1650 - ....)x1670
| |_Jeanne BOUQUIER __|
| (1673 - ....)x1694|
| |_Izabeau FAURE ____
| (1650 - ....)x1670
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|--Martin CHARPENET
| (1715 - ....)
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|_Marguerite Marie PESTOURIE _|
(1690 - ....)x1709 |
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Né au lieudit Cledat
Père : Auby (Aubin) de CLEDAT
_George de CLEDAT __
| (.... - 1657)x1650
_Georges de CLEDAT _|
| (1657 - 1735)x1679 |
| |_Francoize REYNAUD _
| (1617 - 1688)x1650
_Auby (Aubin) de CLEDAT _|
| (1682 - 1752)x1704 |
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| |_Francoize DUMAS ___|
| (1660 - ....)x1679 |
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|--Jaques de CLEDAT
| (1712 - ....)
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|_Marguerite JARDON ______|
(1685 - 1752)x1704 |
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|--Simon COMBELAS
| (1825 - ....)x1849
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|--Marie DAUPHANT
| (1828 - ....)x1850
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|_Jeanne ROUDIER ___|
(.... - 1850) |
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Dcd au lieudit La Chalussie
Conjoint 1 : Jeanne CHEVALIER
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|--Jean DETRIEUX
| (1755 - 1836)
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|--Catherine LABROUSSE
| (1750 - ....)x1779
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Nous avons entretenu d'étroites relations jusqu'à mon départ au Cameroun. Depuis mon retour, il y a presque 20 ans nous ne nous sommes pas revu.
Dans notre jeunesse, il fréquentait surtout Jean-Claude Chadourne, ils avaient le même âge, ils allaient très souvent à la pêche ensemble, à Prigonrieux.
Plus tard, lorsque j'étais invité à passer quelques jours chez Hélène, j'allais chez lui.
Ils avaient deux maisons qui étaient à deux cent mètres l'une de l'autre, près de la gare de Prigonrieux.
Nous allions à la pêche, bien sûr, il m'a appris attraper les vers de manne avec un crible, en soulevant des pelletées de gravier.
Ces vers donnaient naissance à des papillons qui naissaient quasiment en même temps et venaient tourbillonner autour des lampadaires des ponts de Bergerac.
Ils étaient si nombreux qu'ils recouvraient toute la chaussée.
Revenons aux vers.
Après en avoir recueilli un fond de boite de conserve, nous allions nous amarrer à un bidon, retenu par une grosse pierre, qui flottait à la surface de la rivière et marquait l'emplacement de pêche qui nous était réservé.
Nous faisions en sorte que le poisson soit attiré, non par le bidon ou la pierre, leur curiosité à des limites, mais aussi qu'ils restent dans les environs.
Pour cela nous "appâtions", en leur fournissant de la nourriture, le menu variait en fonction du poisson que nous voulions prendre.
Nous prenions de l'argile nous faisions des boules à l'intérieur desquelles nous mettions de la farine de tourteau ou du blé cuit, selon que nous voulions privilégier les ablettes ou les gardons.
Ces poissons adoraient les vers de mannes et nous les poissons, nous étions faits pour nous rencontrer, cela ne ratait pas.
Presque à chaque passage, nous remontions un poisson, ou rien. Le ver de vase était tellement fragile qu'à la moindre touche il état enlevé de l'hameçon, nous ferrions (imprimions un léger coup de poignet), nous remontions soit le poisson, soit l'hameçon vide.
En dehors de la pêche nous avions d'autres occupations, la maison ou habitait Bernard était entourée d'une haie qui bordait une route, sur laquelle passaient quelques personnes en vélo.
Après avoir solidement attaché un portefeuille a un solide fil de pêche en nylon parfaitement invisible, nous posions le portefeuille sur la route et passions derrière la haie en tenant l'autre extrémité du fil.
Les passants en voyant le portefeuille s'arrêtaient descendaient de vélo, pendant ce temps, ils quittaient le portefeuille des yeux et nous en profitions pour le ramener vers nous.
Lorsqu'ils avaient terminé leur manœuvre et s'apprêtaient à ramasser le portefeuille il n'y avait plus rien.
J'entends encore les paroles d'étonnement qu'ils s'adressaient.
Le coup du portefeuille, je soupçonne son père Yves d'avoir enseigné à Bernard, cette technique qui nous a fait passer des moments hilarants.
Autres farces que nous faisions, nous faisions de beaux paquets soigneusement enveloppés que nous laissions au bord de la route.
Cachés nous attendions la victime et l'observions.
La descente de bicyclette, les regards à la dérobés au alentour pour voir s'il y avait quelqu'un.
Que peut il y avoir dans ce joli paquet ?
L'observation du paquet, sa prise en main, le regard sur ses six faces.
Rien d'écrit, pas de nom, pas d'adresse, il est à moi.
Je vais quand même l'ouvrir, il n'y a personne.
Que de fous rires, en voyant sa réaction quand il découvrait, que ce magnifique paquet ne contenait en fait que d'innommables immondices.
Combien de victimes avons-nous fait ? Presque tous les habitants des environ ont eu droit et au portefeuille et au paquet.
Quand le tour a été fait, plus personne ne s'arrêtait, il nous fallait trouver autre chose.
Autre passe temps, la voie ferrée Sarlat - Libourne passait de l'autre côté de la route, oui celle qui était bordée par la fameuse haie au portefeuille.
Nous nous amusions à poser des pièces de monnaie sur les rails, principalement des pièces qui n'avaient plus cours, nous n'avions pas les moyens de mettre de vraies pièces.
Tout cela pour voir la tête qu'elles avaient après le passage de la micheline.
Les années passèrent et là , avec de vraies pièces, nous renouâmes avec Micheline pas sur ses dix roues, mais avec ses deux jambes, superbes.
Les études nous nous séparé, lui passait son BEPC puis il a travaillé à Bergerac, peintre en bâtiment. Qu'elle voie ? Il s'était fait un copain que j'ai aussi connu, qui lui est parti à Corrientes en Argentine. Et puis un jour qui allait décider de son devenir, et plus tard influencer certains de mes choix, il devança l'appel et parti à Madagascar, faire son service militaire.
Si mes souvenirs sont bons il partait pour deux ans.
Deux années qui furent certainement pour lui déterminantes pour deux raisons, il a connu Huguette Goulamali qui allait devenir sa femme, et le riz qui allait devenir son métier.
Après son service militaire, il revint quelque temps en France, puis reparti à Madagascar travailler dans une usine de conditionnement du riz.
Il y appris la partie technique de la culture et du conditionnement du riz, de quoi se forger une solide expérience.
Lorsqu'il revenait en France il nous racontait sa vie là bas.
Durant une de ses vacances, il décida de passer son brevet de pilote privé, comme je l'enviais, il enchaînait les leçons tous les jours à un rythme d'enfer, il obtint ses brevets mais il dû tout arrêter pour des raisons médicales.
Il pensait, je crois me souvenir faire du transport de fret entre Madagascar, les îles alentours et l'Afrique du Sud.
Tout se passait pour le mieux, jusqu'au jour ou des changements politiques intervinrent et l'obligèrent à revenir en France.
A la région bergeracoise il préféra pour son climat la Camargue, d'abord comme Guardian, puis il passa son monitorat d'auto école, il exerça quelque temps ce métier, puis vint à Paris ou il travailla chez Citroën, il habita rue du Dessous de Berges, rue Falguière puis à Antony près de la N20, celle qui va vers la Dordogne.
Quelque temps plus tard, je montais moi aussi à Paris.
Nous sommes restés deux ans a nous voir très souvent, puisque que j'ai moi aussi habité Antony.
Nous allions très souvent à Toussus le Noble, aux Etangs de Hollande en forêt de Rambouillet faire des parties de golf miniature, faire des balades en voiture, il me passait parfois le volant, je n'avais pas souvent l'occasion de conduire, malgréla profession que j'exerçais à l'époque.
Nous nous entendions très bien Bernard, Huguette et moi.
Il convoyait des voitures entre Paris et Périgueux et me faisait profiter de ses allers en Dordogne.
Il avait comme collègue de travail, celui qui allait être le parrain de son fils Laurent.
La sœur de ce collègue travaillait chez le couturier Pierre Cardin.
Je suis allé souvent chez eux à Puteaux.
Je crois qu'un jour ils m'avaient suggéré une place de comptable chez Cardin.
Je me souviens en mai 68, être parti un jour de mon travail à Montparnasse pour aller chez eux à Puteaux, ils étaient absents de leur domicile ensuite je suis revenu de Puteaux à Antony à pied.
J'étais sur les rotules, je ne pense pas que j'ai tardé à me coucher.
Pendant ce temps, Bernard attendait l'opportunité de quitter la France, il avait la nostalgie du soleil.
Huguette travaillait dans une clinique près de chez elle.
Mais tout cela n'était que provisoire.
Un jour, l'opportunité se présenta, cela me fit de la peine de les voir partir mais j'étais content pour eux.
Il avait trouvé un poste dans une rizerie en Guadeloupe, ils partirent donc tous les trois.
Depuis ce jour, je ne les ai jamais revu ensemble, je crois que je n'ai d'ailleurs revu que Bernard, deux ou trois fois en coup de vent, au cours d'une escale à Paris, entre deux vols.
Je les ai eu une fois au téléphone depuis le Cameroun, depuis plus rien.
Ils sont aujourd'hui 5 août 2000, en Guyane.
_Daniel LAPAQUELLERIE _________
| (1866 - ....)x1892
_Louis Gaétan LAPAQUELLERIE _|
| (1893 - 1982)x1915 |
| |_Marie VEZY ___________________
| (1864 - 1947)x1892
_Yves LAPAQUELLERIE _____________|
| (1917 - 2000)x1939 |
| | _______________________________
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| |_Marie BAUDRY ________________|
| (1896 - ....)x1915 |
| |_______________________________
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|--Bernard LAPAQUELLERIE
| (1945 - ....)x1966
| _Pierre "Hyppolyte" CHARPENET _
| | (1823 - 1897)x1884
| _Emile CHARPENET _____________|
| | (1871 - 1945)x1897 |
| | |_Marguerite ROUDIER ___________
| | (1843 - 1922)x1884
|_Rose Marie Madeleine CHARPENET _|
(1921 - 2010)x1939 |
| _Pierre POMMIER _______________
| | (1844 - 1924)x1867
|_Elise dite Anna POMMIER _____|
(1879 - 1963)x1897 |
|_Jeanne ROUMIGUIERE ___________
(1849 - 1919)x1867
Deuxième lit
_Simon MASSENAT ________
| x1686
_Simon (Ou Simeon) MASSENAT ____________________________|
| (1688 - 1734)x1713 |
| |_Catherine POUYADOU ____
| (1661 - 1731)x1686
_François MASSENAT _|
| (1713 - 1753)x1751 |
| | _Arnaud VIGNIERAS ______
| | | x1682
| |_Francoise (Simone - Gironne) VIGNERAS (OU VIGNIEYRAS) _|
| (1685 - 1743)x1713 |
| |_Françoise LASTHERNAS _
| x1682
|
|--Anne MASSENAT
| (1752 - ....)
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|_Catherine POUYADOU _|
x1751 |
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