Né au Bourg
Père : Helies CASTAGNEROL
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_Louis CASTAGNEROL _|
| (1620 - 1671)x1640 |
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_Helies CASTAGNEROL _|
| (1638 - ....)x1671 |
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| |_Anne AUDY _________|
| (1622 - 1671)x1640 |
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|--Guilhiou CASTAGNEROL
| (1676 - ....)
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| _Pierre MAGNE ______|
| | (1610 - ....)x1635 |
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|_Marie MAGNE ________|
(1633 - 1678)x1671 |
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|_Jeanne DELJARRIC __|
(1615 - ....)x1635 |
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AD Condamine 04 - registres paroissiaux page 18
Père : Br Condamine 04 CHARPENEL CHARPENET
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_Patriarche General Fictif CHARPENET _|
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_Br Condamine 04 CHARPENEL CHARPENET _|
| (1650 - ....) |
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|--Jean CHARPENEL
| (1720 - ....)x1741
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_Claude CHARPENET ___
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_Gilbert CHARPENET _|
| (1872 - 1948)x1898 |
| |_Reinette SAPIN _____
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_Claudius CHARPENET _|
| (1899 - ....)x1922 |
| | _Simon DELORME ______
| | | (1855 - ....)x1895
| |_Marie DELORME _____|
| (1878 - 1958)x1898 |
| |_Claudine SERVAGENT _
| (1860 - ....)x1895
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|--Francisque CHARPENET
| (1922 - 1963)x1947
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|_Claudine DAMONT ____|
x1922 |
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_Félix Rémond Georges CHARPENET _
| (1852 - ....)
_Georges Félix Armand CHARPENET _|
| (1880 - 1954)x1905 |
| |_Honorine Aglaë LARCANCHER _______
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_Joseph Georges CHARPENET _____________________|
| (1906 - 1984)x1929 |
| | _Edmond DUFOUR ____________________
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| |_Germaine DUFOUR _________________|
| (1881 - ....)x1905 |
| |_Marie Thérése GUILLIET _________
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|--Odile CHARPENET
| (1936 - ....)
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|_Yvonne Lucienne Justine Suzanne DIDIER DROIN _|
(1907 - ....)x1929 |
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|--Peirone CHARPENET
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L'acte de naissance ne mentionne que le prénoms de Pierre.
Né à Mons qui avec deux autres anciennes communes est devenu Saint Germain et Mons.
Pierre est né le 5 février 1823 à Bonard, commune de Mons, Aujourd'hui Saint Germain et Mons.
Le 15/4/1871, jour de la naissance d'Emile il était domicilié à Gardonne.
Il s'est marié à Gardonne, son lieu de résidence le 14 décembre 1884, son père Pierre est décédé à cette date.
Domicilié à MAURENS le 18 novembre 1889
Ses parents possédaient semble t'il, des biens à Mouleydier, ils étaient parait il Notaires.
Il a été selon les dires déshérité suite à son mariage avec une roturière Mademoiselle Roudier Marguerite surnommée Mémé Roudille.
D'après les récits, le concernant par les personnes âgées que j'ai eu l'occasion de rencontrer à Mouleydier.
Il a laissé un souvenir extrêmement favorable, qui m'a profondément marqué.
Il soignait gratuitement les gens qui ne pouvaient le payer, était toujours là pour soigner les personnes, il se déplaçait avec une voiture à cheval.
Ses patients lui donnaient, quand ils le pouvaient des poulets et autres en échange de ses services.
D'après les anciens, il a fait beaucoup de bien et faisait l'objet d'une immense considération parmi la population de la région.
Il emmenait son fils Emile avec lui lors de ses visites, il le destinait vraisemblablement à lui succéder.
Pourtant il semble que des problèmes familiaux soient survenus pour justifier un arrêt des études pour Emile et un engagement de 4 ans dans l'armée.
Dans le but d'en faire sa carrière, peut être, un autre évènement a du se passer pour justifier la réduction à 3 ans de son engagement.
La réduction de son engagement est le fait d'une autorisation de limitation à trois ans suite à des demandes formulées par des engagés, le contenu de cette note se trouve décrite avec Emile Charpenet.
Néanmoins, une rue portant le nom de Charpenet existe à Mouleydier elle serait due à Pierre, d'après ma famille, et elle existera tant qu'il y aura des Charpenet (à confirmer ?).
Je me souviens lorsque j'avais 17 à 18 ans avoir travaillé à l'Electricité de France et relevé les compteurs dans une grosse partie de la région et en particulier à Mouleydier.
Lorsque les gens me demandaient comment je m'appelais et que je disais Charpenet, alors je voyais leur visage s'éclairer, ils me disaient d'entrer, m'offraient à boire et a manger et me racontaient mon arrière-grand-père, sa voiture à cheval, ses soins gratuits, j'aurais pu rester des heures à les écouter.
Je sentais qu'ils étaient heureux de pouvoir me parler de lui, et moi j'étais là , devant eux, les yeux écarquillés, les oreilles grandes ouvertes à boire leurs divines paroles.
Je baignais dans un bonheur immense.
Moi, tout petit, je sentais monter des larmes à mes yeux, celles qui accompagnent toujours ces moments inoubliables, inénarrables, où l'on sent son cœur se gonfler, où on a envie d'embrasser la terre entière.
Au moment de partir, ils me serraient très fort et longuement dans leurs bras en m'embrassant et en me disant de ne jamais l'oublier, que bientôt ils allaient partir, qui alors se souviendrait ?
Je les quittais complètement abasourdi.
Je dois avouer que j'étais très fier, dans ces moments là , de m'appeler Charpenet, tout au long de ma vie, je me suis souvenu de ce que les gens me disaient à son sujet.
Encore aujourd'hui, je me rappelle les récits, la nuit par tous les temps il allait auprès des malades, parfois il était même obligé de continuer à pied, sa carriole à cheval ne pouvant se frayer un chemin dans la boue des sentiers au milieu des bois, et au bout de la route, une ferme, la grande cheminée, les lampes à pétrole ou a huile qui diffusaient une pâle lumière.
Sur le lit une femme était là , allongée et bientôt un bébé allait naître, le Docteur venait toujours.
Après plusieurs heures, il rentrait chez lui tout trempé.
Il fallait qu'il en ait du courage pour affronter le vent, la pluie, la neige, le froid, pour apporter le réconfort auprès de familles désespérées qui n'avaient pas un sou en poche.
Faire tout cela pour rien, non au contraire, il avait beaucoup de ce que chacun de nous essaie tout au long de sa vie, sentir que ce que l'on fait est un bienfait pour ses contemporains.
Parfois, il soignait aussi les animaux des fermes
Dire que j'ai suivi son exemple serait prétentieux, je n'ai jamais eu la situation qui me permette de lui "arriver à la cheville".
Je suis, vous pouvez, vous les Charpenet, être fiers de porter ce nom, d'avoir dans vos veines une partie de son sang qui y coule.
Dire que c'est la personne qui m'a le plus influencé sans l'avoir connue, serait un doux euphémisme.
Je voudrais tempérer quelque peu, mon récit, en essayant de nous replacer dans le contexte de l'époque.
La réaction des personnes, toutes des femmes qui avaient dépassé les 80 ans, à mon égard était sincère et remonte à l'année 1964.
Une personne de 80 ans en 1964 avait 8 ans, l'année présumée du décès de Pierre en 1892, si elle avait 85 ans en 1964, elle avait 13 ans.
J'ignore encore à ce jour, 1er juillet 2001, quel est le jour de son décés mais il semblerai qu'il soit décédé en 1896.
La personne de 80 ans aurait eu 12 ans, celle de 85 ans aurait eu 17 ans.
Donc revenons dans les années 1885, année de la mort de Victor Hugo, dans nos campagnes deux personnages se partageaient le respect de la population, le prêtre et le médecin.
L'espérance en un futur meilleur pour l'un, la faculté de guérison pour l'autre, quand l'un soignait l'âme, l'autre apaisait le corps.
Tous deux avaient des pouvoirs qui fascinaient, les miracles pour l'un, la science pour l'autre.
L'ignorance dans laquelle se trouvait la population ne faisait que contribuer à les rendre dépendant de ces deux surhommes.
En cela, ils bénéficiaient, en ces temps là , d'une considération, dont ces deux professions ne jouissent plus de nos jours.
Ils étaient les deux personnages les plus importants d'un village, d'une ville, d'une région, ils étaient connus de tous, et il n'est pas surprenant que 80 ans plus tard, les personnes s'en soit encore souvenu.
Telles étaient les informations que nous avions le concernant avant le 25 novembre 2000.
Ce jour là , la Mairie de Gardonne m'a adressé l'acte de naissance de son fils Emile.
Le 28 mars 2002, j'ai reçu de Marie Claire MALAUBIER, l'acte de décès de Pierre, ainsi la boucle est fermée sur le personnage le plus énigmatique de mon enfance.
Beaucoup des récits que j'avais entendu se sont avérés inexact, rue de Mouleydier n'est pas de son fait, mais de Jean Jules son frère, il n'est pas mort jeune, il a vecu 74 ans.
Si les faits sont exacts, le personnage a qui ils sont attribués n'est pas juste.
Le personnage qui etait mort jeune pourrait être, l'un de ses fils Pierre, frére d'Emile Charpenet.
Et puis qui était Jean Jules, mariage, enfants, décès ? il possedait le terrain à Mouleydier, vivait à Saint Aubin de Lanquais ?
Le 23 novembre 2011 j'ai des informations sur Jean Jules, son mariage entre autre.
_Jean CHARPENET ___________
| (1713 - 1789)x1734
_Jean CHARPENET ___|
| (1746 - 1826)x1795|
| |_Antoinette SOUILLAC ______
| (1717 - 1792)x1734
_Pierre CHARPENET _____________|
| (1796 - 1866)x1822 |
| | _Jacques REYNAUD __________
| | | (1739 - 1795)x1750
| |_Marie REYNAUD ____|
| (1770 - 1827)x1795|
| |_Françoise NOUGARET ______
| (1735 - 1795)x1750
|
|--Pierre "Hyppolyte" CHARPENET
| (1823 - 1897)x1884
| _Jean BONNARD _____________
| | (1724 - ....)x1752
| _Jean BONNARD _____|
| | (1766 - 1830)x1789|
| | |_Anne BONVILE _____________
| | (1730 - ....)x1752
|_Marie Anne Madeleine BONNARD _|
(1790 - 1853)x1822 |
| _Père Marie GIRY _________
| | (1740 - 1830)
|_Marie GIRY _______|
(1765 - 1835)x1789|
|_Mère Marie Giry CEYNAUD _
(1745 - 1825)
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| |__
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|
|--Marie CLEDAT
| (1695 - 1741)
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| | |__
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Déclaré le 01 avril 1864 à 13 heures.
Adresses : Aux Jalots 24750 TRELISSAC
Père : François DAUDOU
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_Jean DAUDOU ______|
| (.... - 1852) |
| |___________________
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_François DAUDOU _|
| (1833 - ....)x1855|
| | ___________________
| | |
| |_Jeanne SIMÉON ___|
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| |___________________
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|--Bernard DAUDOU
| (1864 - 1935)x1891
| _X BERNARD ________
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| _Jean BERNARD _____|
| | (.... - 1855) |
| | |___________________
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|_Anne BERNARD _____|
(1835 - ....)x1855|
| _ ROBERT __________
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|_Marie ROBERT _____|
(.... - 1835) |
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Née au lieudit Goursac
Père : Pierre LAUCH
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_Pierre LAUCH ______|
| (1695 - ....)x1717 |
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|--Francoise LAUCH
| (1729 - ....)
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|_Bernarde SOUILLAC _|
(1690 - ....)x1717 |
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|--Jean MINARD
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_Joseph SEBASTIA __|
| (1879 - 1955) |
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_Jean SEBASTIA PRATS _|
| (1925 - ....) |
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|
|--Thierry? SEBASTIA
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|_Jeannine ROYDES _____|
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